Coquelicot

Confessions d'une héretique

Photo Raoul Gilibert

Coquelicot Confessions d’une hérétique est le portrait bouleversant d'une femme qui va à la reconquête de sa vie propre, de son intériorité, de sa sensualité, de sa liberté à l'insu de ce que sa culture lui impose.

Ce solo est librement inspiré du roman d’Atiq Rahimi «Syngué Sabour» écrit à la mémoire d’une poétesse afghane sauvagement assassinée par son mari.

« Syngué sabour. Pierre de patience. Dans la mythologie perse, il s’agit d’une pierre magique que l’on pose devant soi pour déverser sur elle ses malheurs, ses souffrances, ses douleurs, ses misères… On lui confie tout ce que l’on n’ose pas révéler aux autres… Et la pierre écoute, absorbe comme une éponge tous les mots, tous les secrets jusqu’à ce qu’un beau jour elle éclate… Et ce jour-là on est délivré ».

Dans Coquelicot, la pierre de patience prend la forme d’une multitude de bols de la plasticienne Liliane Reinagel.

Photo Raoul Gilibert

Musique John Tavener, Alexandre Pax, Sergueï Rachmaninov
Costume Camille Schléret
Maquillage Jacinthe Schléret
Lumières Nicolas Michel
Chorégraphie et danse Dominique Starck

Durée 55 mn
Création 2011 à Strasbourg

Une production de la Compagnie Poussière de rose avec le soutien du Conseil Général du Bas-Rhin

Photo Raoul Gilibert